revue de presse

Différents articles publiés sur le net ou ailleurs.

Article du Vif l'express

(source: http://www.levif.be/belga/generale/78-6-51062/le-jeu-des-dictionnaires-et-la-semaine-infernale-fetent-leurs-20-ans.html)

Article de l'écho

La Libre

source: http://www.lalibre.be/index.php?view=article&art_id=426346

Actu 24 : anniversaire du JDD

source: http://www.actu24.be/article/mag/tele/le_jeu_des_dicos_comme_aux_premiers_jours/154690.aspx

Actu 24: la fete du JDD

source: http://www.actu24.be/page/depechesdetail/127.aspx?mbo_newsid=33648

DH net

source: http://www.dhnet.be/culture/television/article/210574/20-ans-de-cirque-radiophonique.html

Dh net (Jacques parle des 20 ans de l'émission)

Article/interview de Jacques sur cet anniversaire publié par TUNER

(source: http://www.tuner.be/actu.asp?id=140965&content=home)

la suite du site de Tuner

Le soir en ligne



Exercice périlleux, sacrilège et casse-gueule. Mêler l’info et l’humour : l’équipe du Jeu des dictionnaires s’y est essayée vendredi dans Matin première. Bardaf, ce fut l’embardée. Des interventions intempestives dans les propos d’un invité pourtant pas dénué d’humour (Jean-Michel Javaux), une obligation permanente de repréciser que c’était pour rire, un Thomas Gunzig remplaçant Paul Hermant sans valoir Paule Herreman, des bruitages incongrus (franchement, le fond musical derrière le débat Wilfried Martens – Pierre Carette…), des gags qui tombent à plat comme les niouzz de Kroll qui devait se sentir bien seul en l’absence d’un public rigolant de ses blagues, et, en plus, la pub bio avec Jacques Mercier qui était une vraie pub et même pas un sketch ! Heureusement, après, l’équipe a retrouvé son domaine de prédilection, notamment un savoureux pastiche des Décideurs du vendredi puis un autre, tordant de Culture Club

source: http://archives.lesoir.be/t-20080607-00GDK1.html?query=jeu+des+dictionnaires&andor=and&when=-1&sort=datedesc

Le soir en ligne



Amélie Nothomb le clame régulièrement sur tous les toits : elle est une fan inconditionnelle du Jeu des dictionnaires. Quand elle y est invitée, son rire particulièrement distinctif – elle parle d’un « rire de grenouille » mais c’est en deçà de la vérité… – fait des ravages. Quand on lui rappelle qu’elle a déclaré que c’était « la meilleure émission du monde », elle vous reprend : « Pas du monde, de l’univers ! ».

Quand avez-vous découvert l’émission ?

Au début des années 90, à une époque où je n’avais pas encore été éditée. En 1992, quand mon premier roman (NDLR : Hygiène de l’assassin) a été publié, j’ai été invitée à participer à l’émission. Tout de suite, cela a collé entre l’équipe et moi. J’étais fan de l’émission et ses membres sont devenus fans de moi ! Ils m’ont proposé de devenir marraine de l’émission et j’ai accepté avec joie. Depuis, j’ai deux traditions chaque année à la rentrée de septembre : un nouveau livre et une participation au Jeu des dicos.

Qu’est-ce qui vous plaît tant dans cette émission ?

Tout simplement le fait qu’il n’existe aucune émission sur terre où l’on rigole autant, c’est extraordinairement drôle. J’ai fait des émissions comparables en Suisse – Les dicodeurs à la Radio suisse romande – ou en France – Les maudits mots du dimanche de William Leymergie sur France Inter – mais elles n’étaient pas aussi drôles que Le jeu des dictionnaires. Ce n’est pas pour faire comme à L’école des fans mais tous les membres de l’équipe me font rire, même Jacques Mercier.

Vous parliez de la Suisse, de la France. L’émission est-elle dans la veine tant vantée d’un humour spécifiquement belge ?

J’ai longtemps cru qu’elle s’adressait uniquement aux Belges. Mais chaque fois que je viens aux enregistrements avec mon copain, qui est Français, il hurle de rire encore plus fort que moi. Il est devenu encore plus fan que moi. Comme je suis nulle en informatique et que j’habite Paris, c’est lui qui me fait écouter l’émission sur internet. C’est vrai qu’on est plus drôles que les autres, nous les Belges, mais il ne faut pas être belge pour s’étouffer de rire en écoutant ce programme.

Un souvenir précis ?

C’est lors d’un enregistrement que j’ai rencontré pour la première fois Stefan Liberski. Je ne savais qui il était et j’ai demandé : « Qui est le monsieur en rouge ? ». Avec la voix et l’air très sérieux qu’on lui connaît, il m’avait répondu : « Je suis Stefan Liberski, danseur chez Béjart ». Je ne savais pas comment réagir parce que j’ignorais s’il disait vrai. Cette anecdote me fait toujours rire et Stefan est devenu un ami.

Vous allez fêter cet anniversaire ?

Je ne peux être présente ce vendredi parce que j’ai des obligations à Paris mais, comme je suis marraine et qu’en Belgique, une marraine, cela apporte des tartes au riz, je pense envoyer une tarte au riz à l’équipe de l’émission !

http://archives.lesoir.be/t-20080606-00GD7E.html?query=jeu+des+dictionnaires&andor=and&when=-1&sort=datedesc

Le soir en ligne

La semaine infernale a 20 ans

Radio Une journée spéciale tout ce vendredi sur les ondes de la Première
La bande à Mercier fête les 20 ans de ses deux émissions. Enfin, plutôt les 21 ans de l’une et les 19 de l’autre.

RTL a Les grosses têtes depuis plus de 30 ans. Depuis 20 ans, la RTBF a La semaine infernale et Le jeu des dictionnaires. Un anniversaire fêté ce vendredi sur les ondes de la Première. Un anniversaire ? Bof. Si on fait la moyenne, alors, parce que, en fait, La semaine infernale a 21 ans et Le jeu des dictionnaires 19.

La comparaison avec Les grosses têtes est tentante : même créneau horaire en fin de journée, même principe d’un présentateur respecté et entouré de personnalités à l’humour acéré. « Mais là s’arrête la comparaison, dit Jacques Mercier. Je trouve que Les grosses têtes ne nous parlent pas autant en tant que Belges. C’est drôle mais c’est différent, c’est très gaulois dans tous les sens du terme. Nous, dès le début, on a pris le parti de parler de politique belge. Je pense que le tout s’inscrit dans un sens de l’humour et de l’autodérision spécifiquement belges. Les Français se moquent des autres, pas d’eux. Nous, notre première caractéristique, c’est tout de même qu’on se moque d’abord de nous-mêmes. Les Français disent que les autres sont cons, les Belges disent : “Nous sommes cons”. »

En 1987 – il y a tout juste pas vingt ans donc… –, Jacques Mercier, animateur de l’émission On est faits pour s’entendre sur la première chaîne radio, réunissait autour de lui quelques personnalités de la RTBF (Marc Moulin, Jean-Jacques Jespers, Soda, Jean-Pierre Hautier, Jules Metz alias Monsieur Météo, Philippe Geluck…) pour une séquence humoristique baptisée La semaine infernale. Elle deviendra hebdomadaire et sera diffusée le vendredi en fin de journée.

« Mamine Pirotte, qui venait de prendre la tête de Radio Une, nous a demandé de réfléchir à une déclinaison quotidienne, se souvient Jacques Mercier. C’est comme cela que, deux ans plus tard, est né Le jeu des dictionnaires. Comment ? Un soir, j’y ai joué chez Salvatore Adamo chez qui j’étais invité avec mes enfants. Dans la voiture, au retour, mon fils m’a dit qu’adapter ce jeu était peut-être l’idée que je cherchais pour lancer cette deuxième émission. A la même époque, par hasard, Marc Moulin est venu avec la même idée parce que Jacques Duvall lui avait parlé de ce jeu. »

Les Tilkin et le Docteur G.

Dès La semaine infernale, le public se découvre quelques séquences-cultes : le quatrième épisode des « Tilkin », la « famille infernale » et, bien entendu, le « Docteur G. » de Philippe Geluck. Avec Le jeu des dictionnaires, les choses prennent une autre dimension encore. D’abord, l’équipe quitte les murs de Reyers. « On avait eu une expérience lors de la Foire du livre en 1990 : un enfer ! On s’était dit : plus jamais. Puis le Festival de Spa nous a proposé de nous y produire dans le cadre de son abonnement ! On l’a fait et, de fil en aiguille, cela s’est répété : la RTBF s’est rendu compte que c’était une bonne opération de promo et une bonne affaire financière. Aujourd’hui, il n’y a même plus de studio pour nous accueillir à la RTBF. »

Deuxième évolution : l’émission s’est transformée en une suite de sketchs. « Marc Moulin craignait cette “dérive” quand nous sommes sortis des murs de Reyers, conclut Mercier, parce que d’émission de radio, c’est devenu un spectacle pour un public qui paye. Moi, je découvre tout ce qu’ont préparé les chroniqueurs lors de l’enregistrement. »
Des chroniqueurs qui ont été près de 90, mais dont les plus marquants seront présents à leur façon toute la journée dans tous les rendez-vous de la Première (dès 7 heures), avec une spéciale en direct de 16 à 18 heures.


Source : http://archives.lesoir.be/t-20080606-00GD7F.html?query=jeu+des+dictionnaires&andor=and&when=-1&sort=datedesc

Métrotime : résolumment optimistes

20 ans de Semaine infernale



Ils étaient pratiquement tous là, vendredi, au Studio 6 de la RTBF, autour du grand manitou Jacques Mercier pour faire la fête à 20 années de Semaine Infernale. Philippe Geluck, Soda, Juan d’Oultremont, Jean-Pierre Hautier, Jean-Jacques Jespers pour les anciens, Pierre Kroll, Gilles Dal, Laurence Bibot, Sergio Honorez ou encore Thomas Gunzig pour la jeune garde. 21 ans pour la Semaine infernale, 19 ans pour le Jeu des Dictionnaires. Allez... On fait la moyenne pour arriver à 20 bougies. «C’est la seule émission d’humour itinérante en Belgique!», expliquait Francis Goffin, le directeur général des radios de la RTBF. Pour fêter dignement cette émission phare de La Première, cela valait bien un bouquin. Et c’est Aurélia Dejond, qui a elle-même été chroniqueuse de 2002 à 2006, qui s’y est collée. Pas question ici de s’aventurer dans les coulisses de l’émission, mais bien d’évoquer les premières fois des protagonistes derrière le micro infernal. Et les plus vaillants d’aujourd’hui étaient souvent les plus stressés d’hier. (pj)

«Résolument optimistes» d’Aurélia Dejond, éditions Racine, 240 pages, 24,95€

source: http://www.metrotime.be/20_ans_de_Semaine_infernale.html

Beau travail, Véro!

Merci beaucoup pour toutes ces coupures de presse Véro.
Toujours là à penser à tous !